Au début du mois de mars, les organisations syndicales ont demandé, par écrit, au Directeur général de ne pas dénoncer l’accord d’entreprise arrivant à échéance, mais au contraire de le proroger, en y apportant si nécessaire, des modifications par amendements.
Le Directeur général a répondu à cette demande par une lettre en date du 27 mars 2013 dans laquelle il constate effectivement la nécessité d’arbitrer rapidement entre les deux options disponibles : la dénonciation ou la prorogation.
Dans sa lettre, le Directeur général considère que la simple prorogation en l’état de l’accord d’entreprise pour une nouvelle période de cinq ans est à exclure. Pour autant le Directeur « soucieux de préserver la qualité du dialogue social au sein de l’IRSN » affirme prendre note du souhait des organisations syndicales de ne pas dénoncer l’accord d’entreprise.
Alors, que devons nous comprendre et conclure de cette lettre ? Nous laissons aux plus fins exégètes de l’institut le soin d’y répondre.